Evidence est le premier projet musical de Marie-Alice Ottmann, auteure-compositrice-interprète.
C’est un album de chansons françaises et poétiques.
Radios de diffusion : Radio Vintage, Radio Sud Besançon, RCF, Aligre.FM, Radio Campus, Radio amitié, Radio Castor, MIF (diffusion de musiques francophones à Athènes)
Disponible sur toutes les plateformes : Spotify, Deezer, Applemusic...
SENTIMENT
ASCENSIONNEL
Accrochée à contre sens l’heure
Accordée à Tes battements de cœur
Réveillée par le silence
Je m’allonge à contre-courant
Enveloppée dans l’autre sens
Je suis en recherche
Ventiler au bout de quelques heures Concentrée sur chacune de mes humeurs Réveillée par le silence
Je m’allonge à contre-courant
Enveloppée dans l’autre sens
Je suis en recherche
D’un sentiment ascensionnel
D’un sang qui ment pour l’éternel
Pour s’emparer d’une nouvelle histoire
Balancée sans autre chance l’heure
Divague et me chavire le cœur
Réveillée par le silence
Je m’allonge à contre-courant
Enveloppée dans l’autre sens
Je suis en recherche
D’un sentiment ascensionnel
D’un sang qui ment pour l’éternel
Pour s’emparer d’une nouvelle histoire
Remuée dans tous les sens l’heure
Et troublée par les changements du cœur Réveillée par le silence
Je m’allonge à contre-courant
Enveloppée dans l’autre sens
Je suis en recherche
D’un sentiment ascensionnel
D’un sang qui ment pour l’éternel
Pour s’emparer d’un nouveau départ
Balancer sans autre chance l’heure
Divaguer par les changements du cœur Réveillée par le silence
Je m’allonge à contre-courant
Enveloppée dans l’autre sens
Je suis en recherche du vent
TU ME REVIENS TEL UN DOUX POEME
Tu me reviens tel un doux poème
Que j’aurais écrit il y a longtemps
Une mélodie tout enivrante
Tel ces refrains qui nous parviennent De quelque passant quelque passante Et qui s’évanouissent déjà à peine
On les fredonne un bref instant
Tu me reviens tel un doux poème
Que j’aurais écrit il y a longtemps
Et ce n’est que par temps de peine
Qu’il me revient de temps en temps Parfois d’un air ou d’un parfum
Qui sent si bon la belle France
De quand la vie, c’était la vie
C’était d’amour, c’était de vin
Et des je t’aime
Que l’on n’osait
Chuchoter qu’à pas de danse
Tu me reviens tel un doux poème
Que j’aurais écrit il y a longtemps
Sans savoir que tel je t’aime
Se perdrait avec le temps
Et que le vent du temps l’efface
Et qu’à jamais il s’en irait
Mais tel autre qu’on livrait
En toute honte en toute pudeur
Et dont on aurait perdu la trace
Nous reviendrait comme une alerte
Oh attention à ton petit cœur
Car c’est toi-même qui t’oublierais
Tu me reviens tel un doux poème
Que jamais je n’ai écrit
A moins peut-être d’un oubli
Ou alors déjà c’était pour toi